Plastique, santé et beauté : Ce que nos packagings disent vraiment

Spoiler alert : le plastique, ce n’est définitivement pas fantastique… et l’émission La Terre au Carré – Radio France le rappelle très bien.

Dans l’alimentation comme dans la cosmétique, certains plastiques peuvent libérer des perturbateurs endocriniens. Ces molécules invisibles s’immiscent dans nos gestes quotidiens, altérant la promesse de bien-être que nous recherchons à travers les produits que nous consommons.

Mais dans l’univers de la beauté, sommes-nous aussi concernés ? La réponse est oui. Voici les clés pour comprendre.

Cosmétiques & plastiques : quels sont les risques ?

Perturbateurs endocriniens Plus de 16 000 molécules peuvent entrer dans la composition des plastiques alimentaires, dont près de 5 000 additifs. Parmi eux, les bisphénols et autres substances chimiques sont capables d’interférer avec le système hormonal.

En cosmétique, cette réalité soulève un enjeu majeur : les emballages plastiques peuvent contaminer crèmes, sérums ou lotions, compromettant à la fois la sécurité, l’efficacité des actifs et la promesse de bien-être.

Migration des substances Dans l’alimentation, les molécules contenues dans les plastiques, rigides ou bioplastiques, peuvent migrer progressivement vers le produit, surtout avec la chaleur, les plats gras ou acides.

En cosmétique, cela peut :

Altérer la stabilité des actifs,

Modifier les textures,

Introduire des composés indésirables.

Résultat : 100 % des Français sont imprégnés de perturbateurs endocriniens.

Une exposition quotidienne

Chaque jour, nous sommes entourés de plastiques : biberons, gourdes, plats à emporter, assiettes de cantine. Même les bioplastiques cachent parfois une fine pellicule en contact direct avec nos repas.

Les plus exposés ? Les enfants.

Et si le plastique est déjà omniprésent dans notre alimentation, il l’est tout autant dans la beauté : pots, flacons et packagings. Résultat : une exposition répétée, avec un impact potentiel sur la santé à court et à long terme.

Ce qu’on a retenu

Les perturbateurs endocriniens ne sont pas de simples « détails techniques ». Ils miment nos hormones, les bloquent, les accélèrent… et cela peut jouer sur la santé à court et à long terme, surtout pendant les 1 000 premiers jours de vie.

Quelques gestes de bon sens

Privilégier des emballages en verre, aluminium ou matériaux certifiés sans bisphénols

Développer des formules concentrées ou solides pour réduire le recours au plastique

Ne jamais réchauffer dans du plastique

Questionner, demander, s’informer : être consommateur… mais conscient

Ce n’est pas un appel à paniquer, mais à choisir en pleine conscience. Parce qu’à force d’attendre qu’on nous interdise certaines pratiques, on oublie qu’on peut déjà faire mieux, dès aujourd’hui, avec des gestes simples.

Ce que MONO fait différemment

Chez MONO, la transparence et la réduction de l’empreinte écologique font partie de nos piliers fondamentaux.

La Science MONO est une innovation dermo-cosmétique mondiale : les premiers soins 100 % naturels en comprimé sec.

Ce format breveté :

Préserve les actifs purs et stables jusqu’à leur activation,

Limite les risques de contamination,

S’appuie sur des emballages conçus à partir de matériaux sûrs et durables.

Chaque soin est pensé pour préserver la pureté de la formule, l’équilibre de votre peau et la planète.

Nous vous invitons à écouter l’émission La Terre au Carré sur Radio France. 

Découvrez la Science MONO : une vision de la cosmétique plus éco-logique :

La Science MONO – Mono Skincare

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Le plastique n’est pas fantastique… mais notre pouvoir d’action, lui, peut l’être.